#Zénith : fraude sur les billets, préjugés et anniversaire

Le Zénith de Paris a été édifié en 1984. A l’occasion de ses trente ans, un livre retrace son histoire (Les échos).

Un journaliste résume le marché des musiques actuelles dans les salles de spectacle (Les échos). Il conclue que les grosses productions marchent, mais pas les TPE. Les Zénith sont, selon lui, favorisés par le public. On pourrait suivre ce raisonnement et penser que seules les stars réussissent dans les Zénith, mais le chant traditionnel a aussi du succès (La dépêche), sans parler de la musique zouk. Malgré une communication a été très ciblée, le succès est au rendez-vous (rue89).

Nous disions que Pharrell Williams se produisait presque à guichet fermé en France. C’est un tel phénomène que le Petit Journal a décidé de poser « la question qui tue » à ses fans (Musique.jeuxactu). Je vous dis que Stromae remplit les salles mais voici des preuves (La dépêche, France3). Provoquera-t-il des bouchons à Toulouse comme l’avait fait Pharrell Williams? Les billets s’arrachent pour les spectacles. A tel point que lorsqu’il n’y a plus de places disponibles, le public se rabat facilement sur les revendeurs. Le problème c’est que cette pénurie de places a ouvert le marché aux faux billets (La dépêche, Virginradio). On se demandait aussi pourquoi ces spectacles marchaient. Dans le cas de Christophe Maé, le public a pris l’initiative d’apporter des ballons et des roses. Le public participe à part entière au spectacle. Cette implication et cette proximité font tout le charme de ces prestations (76actu).

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