Une Scarlett Johansson Sexy dans l’#Adaptation Cinématographique du #Manga Ghost in the Shell

L’adaptation de dessins animés en films avec des personnages réels n’est pas l’apanage de Disney, loin de là ; une fois de plus, Hollywood et  DreamWorks font du neuf avec du vieux, et l’on ne peut les en blâmer. Il y a vingt ans sortait au cinéma en France le dessin animé tiré du Manga Ghost in the Shell. Loin de drainer les foules, le film aura au moins eu le mérite de sortir dans les salles, à l’instar de ses homologues Akira et Final Fantasy.

C’est l’un des films les plus attendus de 2017 : l’adaptation live du manga culte Ghost in the Shell sortira le 29 mars prochain sur les écrans et suscite autant de craintes que d’excitation. Derrière la caméra, on retrouve Rupert Sanders (Blanche-Neige et le Chasseur) ; le casting accueille également Juliette Binoche et Takeshi Kitano, l’un des maîtres du cinéma japonais.

Littéralement « fantôme dans la carapace (ou le système informatique) », Ghost in the Shell désigne les policiers anti-émeute en carapaces offensives, parfois abrégés GITS. Scarlett Johansson incarne quant à elle le Major Kusanagi, un agent spécial qui dirige l’unité d’élite Section 9 chargée d’arrêter les criminels et extrémistes les plus dangereux. Le film reste fidèle au pitch du manga culte : le combat mené par le cyborg Major Kusanagi – incarné par Scarlett Johansson – et l’équipe d’élite de la Section 9 contre des cyber-terroristes radicaux.

Transformer l’œuvre monumentale de Masamune Shirow en un film hollywoodien semble beaucoup trop hasardeux pour certains fans, sans oublier que le manga culte a déjà eu droit à deux adaptations cinématographiques sous la forme d’animés, réalisés en 1995 et 2004 par Mamoru Oshii. Pourtant, les premiers teasers ont rapidement suscité la curiosité. Et il faut bien admettre que la première bande-annonce dévoilée le 14 novembre dernier est plutôt alléchante, tant le réalisateur affiche son respect de l’œuvre originale (un respect qui vire presque au mimétisme…). Reste à savoir si cette volonté de coller à l’original ne risque pas de transformer Ghost in the Shell en un « fan film » à gros budget.

Scarlett, androïde sexy

En Natasha Romanoff/Veuve Noire, super-héroïne très sexy dans les franchises Marvel (Avengers, Iron Man, Captain America) ou en femme fatale aux capacités cérébrales extraordinaires dans Lucy (Luc Besson), Scarlett Johansson semble parfaite pour le rôle du Major Kusanagi, bien qu’étant à l’origine d’une nouvelle polémique sur la toile : le fait d’avoir choisi l’actrice pour jouer un personnage d’apparence asiatique, ce dont se défend le réalisateur : « je pense qu’à chaque fois que vous faites un choix de casting, quelqu’un va opposer une critique. Moi, je reste fidèle à ma décision. C’est la meilleure actrice de sa génération et j’étais flatté et honoré qu’elle accepte de jouer dans ce film ».

Rupert Sanders ne s’y est pas trompé : avoir Johansson au casting lui assure une visibilité hors norme et fait du film un événement planétaire. Depuis la parution de la bande-annonce du film avec une Scarlett en androïde sexy, la toile s’enflamme.

Le film sortira le 29 mars 2017 dans les salles de l’Hexagone.

http://fr.blastingnews.com/culture/2016/11/cinema-une-scarlett-johansson-sexy-dans-ghost-in-the-shell-001260155.html

http://www.linfo.re/magazine/cinema/706630-ghost-in-the-shell-au-cinema-la-bande-annonce-sexy-et-musclee

http://www.tomsguide.fr/actualite/ghost-in-the-shell,54163.html

http://blog.francetvinfo.fr/popup/2016/11/16/ghost-in-the-shell-une-video-prouve-que-ladaptation-cine-va-copier-plan-par-plan-lanime.html

http://www.ouest-france.fr/culture/scarlett-johansson-super-forte-et-sexy-dans-ghost-shell-4611081

 

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